Dans un monde qui évolue à vitesse grand V et dans un contexte de changement de paradigmes en éducation, il est parfois difficile de suivre le rythme, de se tenir à jour.
Certains
vont s’inscrire à l’université, d’autres à quelques formations données par leur
commission scolaire. On vous dira que parfois, souvent, les formations ne répondent
que partiellement ou pas à leurs attentes – attentes, peut-on ajouter, fort
différentes d’un enseignant à l’autre. D’autres, plus autodidactes, liront un bouquin
traitant de pédagogie, de gestion de classe, de didactique.
Pas
facile d’intégrer notre développement professionnel dans un horaire chargé à
bloc… Pour ma part, la découverte de Twitter a révolutionné la façon dont je
m’informe en lien avec ma profession. Ce microblogue me permet d’avoir accès aux
réflexions de plusieurs collègues (orthopédagogues, enseignants, conseillers
pédagogiques, directeurs de centre, chercheurs, penseurs, etc.) de partout au
Québec et ailleurs dans le monde.
Souvent,
un tweet (un gazouillis) offre un
lien vers un blogue ou un article traitant d’un sujet qui pique ma curiosité ou
qui me permet d’approfondir une réflexion personnelle. Twitter me permet de gagner
du temps de recherche sur internet, de
découvrir des gens passionnés et d’avoir accès à une information sans cesse
renouvelée et à jour, et ce, au moment ou à l’endroit que je juge opportun.
Bien sûr, si vous suivez Ashton Kutcher ou Lady Gaga, vous n’aurez pas accès
aux mêmes liens et contenus… Mais voilà justement une des forces
de Twitter pour notre développement professionnel; nous choisissons qui suivre
ou pas.
En
terminant, je ne considère pas Twitter comme étant la panacée en matière de
développement professionnel. C’est une façon parmi d’autres de nous réseauter,
de nous informer, de demeurer branché aux questionnements, aux bouillonnements
d’idées d’autres collègues qui vivent les mêmes défis que nous.
Si
vous souhaitez entrer dans ce merveilleux monde, voici un document expliquant
les tenants et aboutissants de Twitter. Document développé par le service national du Récit, domaine des langues.
Pour
ceux et celles qui comprennent la langue de Shakespeare, une vidéo ludique fort
bien réalisée :
@clocastonguay
Voici
quelques personnes que je suis :
@jacquestondereau
@francoisrivest
@recitfga15
@FrancoisGuite
(souvent en anglais)
@malalande
(en anglais)